En décembre, Daniel Mordzinski expliquait au site colombien El Tiempo combien il se sentait chanceux :
« Ma grande chance est d’avoir réussi à construire un endroit où se retrouvent les écrivains, j’ai pu faire des clichés uniques et personnels, et tout ça a été possible grâce au respect qu’ils éprouvent pour mon travail et à la complicité qui s’est instaurée entre eux et moi. »
« La peine me dévore »
Aujourd’hui, « la colère et la peine » le dévorent. Le photographe argentin, grand portraitiste, collaborateur régulier du bureau parisien de El Pais depuis une quinzaine d’années,